ARS MEDICI 03/2006

Avant l’introduction du concept de dignité Tarmed et l’entrée en vigueur des contrats bilatéraux, les médecins ont pu exercer leur profession sans se soumettre au diktat de la FMH leur imposant un titre de spécialiste. Il leur a été possible sans aucun problème de facturer aux caisses-maladie chaque presta- tion fournie à un patient. Mais cela a bien changé avec l’intro- duction de ce concept de dignité et le titre de spécialiste reconnu au niveau fédéral. Celui qui ne peut faire valoir ses droits acquis ne peut facturer que ce qui est attribué à son titre de spécialiste dans le Tarmed. Les droits acquis – par exemple un ECG d’effort ou une intervention de crise comme médecin de premier recours – ne peuvent être maintenus que si la forma- tion continue dans les prestations en dehors de sa spécialité peut être prouvée. Avec la garantie des droits acquis est née la «recertification». Un monstre qui a pris des dimensions que de nombreux collègues libres praticiens ont maintenant appris à craindre. ARS MEDICI s’est entretenu à ce propos avec Madame Dr méd. Ingrid Wyler-Brem, Spécialiste en Médecine générale et Présidente de la FMP

Zum Artikel als PDF

Schmerzen in der Schulter gehören zum hausärztlichen Alltag. Breit aufgefächerte diagnostische Kategorien mögen für die Forschung nützlich sein, bringen für die Praxis aber wenig, da sie die initiale konservative Therapie nicht in andere Bahnen lenken. Hier wird eine vereinfachte Klassifikation vorgeschlagen, die den diagnostischen Techniken in der Grundversorgung Rechnung trägt.

Zum Artikel als PDF

Die Schmerzlinderung bei terminalen Krankheiten gehört zu den wichtigsten ärztlichen Aufgaben. Hier wird an die nichtpharmakologischen Interventionen und an die neben Opioiden eingesetzten adjuvanten Pharmakotherapien erinnert.

Zum Artikel als PDF